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La réponse de l'apôtre Paul face à la Loi de Moïse et aux faux docteurs

  • Thomas
  • 18 juin 2016
  • 12 min de lecture

Paracha Nasso

Nasso signifie « fais faire » - Nombres 4 : 21 à 7 : 89

« Je ne suis pas sans la loi de Dieu, étant sous la loi du Messie » (Paul, 1 Corinthiens 9.21)

Il est un fait évident : les épîtres de Paul comportent plusieurs points difficiles à comprendre et nos traductions modernes n’arrangent pas les choses. Parmi ces points difficiles, il y a certains enseignements de Paul très subtils au sujet de l’étroite relation qu’il y a entre la loi et la grâce qui, s’ils sont mal compris, peuvent entraîner de terribles fausses doctrines destructrices et les mots sont pesés : mal interpréter la Parole de Dieu et persister dans cette voie est une chose très dangereuse.

Pierre, un des apôtres du Messie, nous avertit que les personnes mal affermies n’hésiteront pas à tordre le sens des écrits de Paul pour leur propre ruine : En effet, sans mâcher ses mots, Pierre déclare qu’il y a dans les lettres de Paul « des points difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies tordent le sens, comme celui des autres Écritures, pour leur propre ruine » (2 Pierre 3.16).

Effectivement, interpréter hâtivement les lettres de Paul d’une manière non conforme au reste des Écritures est une chose dangereuse qui ne se trouve que chez ceux qui sont ignorants, mal affermis et orgueilleux : c’est par orgueil que de telles personnes enseignent ce qu’il ne faut pas enseigner et c’est bien pour cela que Pierre nous montre quel sera le sort finale de ceux qui tordent le sens des Saintes Écritures : la ruine, comme il est dit : « L’arrogance précède la ruine, Et l’orgueil précède la chute » (Proverbes 16:18).

Comme dit la sagesse du Roi Salomon, il n’y a rien de neuf sous le soleil et « S’il est une chose dont on dise : Vois ceci, c’est nouveau ! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés » (Ecclésiaste 1.10). Ainsi, aujourd’hui encore, exactement comme dans les siècles qui nous ont précédés et comme il y a plus de 2000 ans, plusieurs personnes comprennent mal certains passages des Ecritures et des lettres de Paul tels que « mort à la loi », « justification par les oeuvres de la loi », « sous la loi » etc, et ces personnes pensent et enseignent que Paul incitait les croyants à ne plus observer la loi de Dieu donnée à Moïse.

Bien heureusement, la sagesse de Dieu ayant prévu ce type d’accusation, l’Écriture ne nous laisse pas sans réponse et y répond d’une manière brillante et limpide qui nécessite de connaitre un minimum la loi de Moïse afin de bien cerner la réponse éclatante que les disciples de l’église primitive apportent à toutes les générations qui feraient l’erreur d’imaginer que l’enseignement de Paul inciterait à ne plus observer la loi de Moïse.

Dans le chapitre 21 du livre des actes, nous voyons Paul se rendre chez Jacques à Jérusalem. « Tous les anciens s’y réunirent » et, « Après les avoir salués, il raconta en détail ce que Dieu avait fait au milieu des païens par son ministère. » (Actes 21 : 18-19).

Après avoir glorifiés et loués Dieu pour les merveilles qu’il a fait au milieu des païens, plusieurs frères prirent alors la parole pour informer Paul d’une terrible fausse rumeur qui se répandait parmi les juifs à son sujet : « Tu vois, frère, combien de milliers de Juifs ont cru, et tous sont zélés pour la loi (Torah). Or, ils ont appris que tu enseignes à tous les Juifs qui sont parmi les païens à renoncer à Moïse, leur disant de ne pas circoncire les enfants et de ne pas se conformer aux coutumes. »

Craignant que cette dramatique fausse rumeur se répande, les frères ont l’idée d’un plan qui permettra de fermer définitivement la bouche à tous ceux et celles qui répandraient ces fausses rumeurs sur Paul, « et ainsi tous sauront que ce qu’ils ont entendu dire sur ton compte est faux, mais que toi aussi tu te conduis en observateur de la loi. » (Actes 21.24).

Notez bien ce que dit ici le texte : « TOUS » verront que Paul se « conduit en observateur de la loi. ».

Une première question se pose : voyez-vous Paul se conduire en observateur de la Loi ou croyez-vous qu’il enseigne à renoncer à Moïse ?

Voici donc en quoi consiste le plan que les frères ont proposé à Paul permettant ainsi d’anéantir définitivement toute fausse rumeur au sujet de son enseignement : « Fais ce que nous allons te dire. Il y a parmi nous quatre hommes qui ont fait un voeu; prends-les avec toi, purifie-toi avec eux, et pourvois à leur dépense, afin qu’ils se rasent la tête. Et ainsi tous sauront que ce qu’ils ont entendu dire sur ton compte est faux, mais que toi aussi tu te conduis en observateur de la loi. » (Actes 21.23-24)

Que signifie « Purifie-toi avec eux » ? Que signifie « Pourvois à leur dépense » ? Et que signifie « Afin qu’il se rase la tête » ?

Pour bien comprendre ces choses et mieux saisir en quoi consiste leur plan, il est nécessaire de regarder plus en détailce qu’enseigne la loi de Moïse au sujet de ce que l’on appelle en hébreu un « Neder Nazir », c’est à dire un voeu de nazir qu’un homme fait devant l’Eternel. Les lois sur les voeux de nazir se trouvent dans la paracha Nasso étudiée dans le monde entier ce shabbat du 18 juin 2016. Il y a encore une fois d’innombrables trésors de sagesse contenus dans les lois relatives aux voeux de Nazir mais ce n’est pas l’objet de cet article.

Voici le texte, avec en ROUGE, les passages en lien avec notre texte d’actes 21 :

« Voici la loi du naziréen : Le jour où il aura accompli le temps de son naziréat, on le fera venir à l’entrée de la tente d’assignation. Il présentera son offrande à l’Eternel : un agneau d’un an et sans défaut pour l’holocauste, une brebis d’un an et sans défaut pour le sacrifice d’expiation, et un bélier sans défaut pour le sacrifice d’actions de grâces; une corbeille de pains sans levain, de gâteaux de fleur de farine pétris à l’huile, et de galettes sans levain arrosées d’huile, avec l’offrande et la libation ordinaires. Le sacrificateur présentera ces choses devant l’Eternel, et il offrira sa victime expiatoire et son holocauste; il offrira le bélier en sacrifice d’actions de grâces à l’Eternel, outre la corbeille de pains sans levain, avec l’offrande et la libation. Le naziréen rasera, à l’entrée de la tente d’assignation, sa tête consacrée; il prendra les cheveux de sa tête consacrée, et il les mettra sur le feu qui est sous le sacrifice d’actions de grâces. Le sacrificateur prendra l’épaule cuite du bélier, un gâteau sans levain de la corbeille, et une galette sans levain; et il les posera sur les mains du naziréen, après qu’il aura rasé sa tête consacrée. Le sacrificateur les agitera de côté et d’autre devant l’Eternel : c’est une chose sainte, qui appartient au sacrificateur, avec la poitrine agitée et l’épaule offerte par élévation. Ensuite, le naziréen pourra boire du vin. Telle est la loi pour celui qui fait voeu de naziréat; telle est son offrande à l’Eternel pour son naziréat, outre ce que lui permettront ses ressources. Il accomplira ce qui est ordonné pour le voeu qu’il a fait, selon la loi de son naziréat. » (Nombres 6)

Ainsi, ce passage d’actes 21, combiné avec ce passage de nombre 6, fait clairement apparaître quelques stupéfiantes vérités qu’il conviendrait de méditer : des années après la résurrection du Messie, Paul, conduit par l’Esprit et en accord avec ses frères de foi, se rend au temple avec les 4 hommes qui ont fait le voeu de Nazir afin de pourvoir à leur dépense pour qu’il se rase la tête et apporte les offrandes (sacrifices) et ceci dans le but de montrer à tous qu’il observe la loi de Dieu donnée à Moïse :

« Alors Paul prit ces hommes, se purifia, et entra le lendemain dans le temple avec eux, pour annoncer à quel jour la purification serait accomplie et l’offrande présentée pour chacun d’eux. » (Actes 21.26).

Les offrandes dont il est question pour le voeu de Nazir sont principalement des sacrifices comme nous venons de le lire dans la Torah en nombres 6.

Certains pensent que Paul aurait agit par ruse afin de ne pas éveiller la fureur des juifs qui gardent la Torah. Ceci est faux, Paul n’était pas un hypocrite et n’agissait pas par ruse : il vivait ce qu’il enseignait et ne vivait pas dans la dissimulation et l’hypocrisie. D’ailleurs, il convient de préciser qu’un peu plus tôt, Paul lui même avait fait un voeu de Nazir et avait parfaitement observé la loi à ce sujet :

« Paul resta encore assez longtemps à Corinthe. Ensuite il prit congé des frères, et s’embarqua pour la Syrie, avec Priscille et Aquilas, après s’être fait raser la tête à Cenchrées, car il avait fait un voeu. » (Actes 18.18)

Egalement, on se rappelle de ce que Paul déclara pour sa défense devant le gouverneur Felix : « Je m’efforce d’avoir constamment une conscience sans reproche devant Dieu et devant les hommes. Après une absence de plusieurs années, je suis venu pour faire des aumônes à ma nation, et pour présenter des offrandes. C’est alors que quelques Juifs d’Asie m’ont trouvé purifié dans le temple, sans attroupement ni tumulte. » (Actes 24.16)

Il convient de préciser une chose car plusieurs pourraient être déroutés par les vérités ici exposées : Paul n’avait aucun problème avec les sacrifices d’animaux dans le temple car il observait la loi de Dieu avec un coeur bien disposé et avait compris une chose essentielle : Telle la guérison apportée par le serpent d’airain, seul le sacrifice de Yéshoua sauve et purifie de tout péché celui qui croit en Lui mais les sacrifices des animaux, en tant que « ombres et images » de ce qui est céleste, ont une valeur et un impact spirituel en tant que symbole et culte, ce qui est encore différent :

« Le souvenir des péchés est renouvelé chaque année par ces sacrifices » (Hébreux 10.3)

et encore : « Presque tout, d’après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n’y a pas de pardon. Il était donc nécessaire, puisque les images des choses qui sont dans les cieux devaient être purifiées de cette manière, que les choses célestes elles-mêmes le fussent par des sacrifices plus excellents que ceux-là. Car Le Messie n’est pas entré dans un sanctuaire fait de main d’homme, en imitation du véritable, mais il est entré dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu. » (Hébreux 9.22-24) ;

« Il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire, qui n’est pas de cette création; et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle » (Hébreux 9.11-12)

C’est dans ce contexte qu’il est dit : « la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l’exacte représentation des choses » (Hébreux 10.1) car effectivement, seul le sacrifice du Messie et son sang précieux et parfait sont en mesure de purifier la conscience de tout péché et d’offrir la rédemption tant attendue et espérée par l’humanité, « c‘est ce que le Saint-Esprit nous atteste aussi; car, après avoir dit : Voici l’alliance que je ferai avec eux, Après ces jours-là, dit le Seigneur : Je mettrai mes lois dans leurs coeurs, Et je les écrirai dans leur esprit, il ajoute: Et je ne me souviendrai plus de leurs péchés ni de leurs iniquités. » (Hébreux 10.15)

Ce sont ici des choses profondes et glorieuses mais en aucun cas, cela annule le moindre iota de la loi de Dieu et le moindre commandement. Effectivement, sachant que « le péché est la transgression de la loi divine » (1 Jean 3.4), « si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles. Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins; de quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu, qui aura tenu pour profane le sang de l’alliance, par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé l’Esprit de la grâce ? Car nous connaissons celui qui a dit : A moi la vengeance, à moi la rétribution ! et encore : Le Seigneur jugera son peuple. C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. » (Hébreux 10..26-31)

Attention donc ! Paul a accepté d’observer les lois de nazir avec les 4 hommes mentionnés en actes 21 dans le but de prouver à sa génération et à toutes celles à venir une chose capitale : en tant que disciple de Yéshoua, Paul est un fidèle observateur de la loi de Moïse (Torah) qu’il respecte et met en pratique comme il est dit à son sujet : « tu te conduis en observateur de la loi. » C’est ce même Paul qui dira sans ambiguïté : « Soyez tous mes imitateurs, frères, et portez les regards sur ceux qui marchent selon le modèle que vous avez en nous. » (Philippiens 3.17). Il est évident que beaucoup de chrétiens modernes, s’ils voyaient un homme croyant en Yéshoua apporter un sacrifice au temple après avoir fait un voeu de Nazir, ils le taxeraient d’homme charnel et légaliste, déchu de la grâce : c’est ainsi qu’ils jugeraient ce Paul qu’ils prétendent suivre… Pourtant, des années après la résurrection, c’est bien ce que Paul a fait : observer la loi de Moïse. Il y a ici une grande leçon.

Evidemment, pour les païens qui viennent tout juste de se convertir et de découvrir la bonté de Dieu et de son pardon en Yéshoua, Les apôtres n’ont jamais exigé de mettre immédiatement en pratique toute la Torah de Dieu pour être sauvé, ce qui serait impossible à respecter et reviendrait à annuler le sacrifice parfait du Messie ! Non, les apôtres y vont lentement, petit à petit : ils imposent aux païens quelques lois fondamentales très importantes dans le judaïsme : « A l’égard des païens qui ont cru, nous avons décidé et nous leur avons écrit qu’ils eussent à s’abstenir des viandes sacrifiées aux idoles, du sang, des animaux étouffés, et de l’impudicité. » (Actes 21.25) : Ceci est le minimum requis en début de conversion mais cela n’a jamais signifié que le convertis des nations devrait s’arrêter là et se reposer sur ses lauriers ! Pour la suite, le convertis doit étudier la parole de Dieu, la Torah, et la mettre en pratique avec l’aide de Dieu, selon ses capacités.

Ainsi, Paul accepta d’observer les lois de Nazir avec les 4 hommes afin d’empêcher quiconque de tenir pour profane le sang de l’alliance renouvelée et de fouler au pied le Fils de Dieu. Effectivement, Paul savait que si l’on commençait à enseigner que la foi en Yéshoua conduisait à abandonner et à renoncer à la Loi de Dieu donnée à Moïse, et que le salut que Dieu offre à ceux qui croient en Son Fils leur permettait d’abolir la loi de Dieu et le moindre iota de la loi, alors, un tel enseignement profanerait le sang de l’alliance et c’est ainsi que la voie de la vérité serait calomniée ; c’est ici l’avertissement de Pierre :

« Il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui, reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine. Plusieurs les suivront dans leurs dissolutions, et la voie de la vérité sera calomniée à cause d’eux. » (2 Pierre 2.3)

Bien malheureusement, aujourd’hui encore et malgré les avertissements, de nombreuses personnes qui se nomment pasteurs et enseignants, à cause de leur mauvaise compréhension de ces points difficiles à comprendre contenus dans les lettres de Paul, enseignent l’abolition de la loi de Moïse, une loi qui selon eux serait dépassée, caduc et obsolète ; une loi que le chrétien n’aurait plus à observer, ce qui est une dramatique erreur responsable de nombreux maux : Un peuple sans loi, et à plus forte raison sans la loi divine, est un peuple sans discernement et en proie à toute sortes de maux et de tromperies comme nous le voyons aujourd’hui.

Le diable sait que « la Loi de Dieu restaure l’âme » (Psaumes) et qu’elle est une source de bénédiction pour les enfants de Dieu et c’est ainsi que satan, par l’intermédiaire de ses faux apôtres et de ses faux ouvriers, a réussi à faire croire à une large partie du monde chrétien que la loi de Dieu était caduc, privant ainsi une partie du peuple de Dieu de la véritable saine doctrine qui elle seule, grâce à Dieu et avec l’assistance de son Esprit, permet de marcher dans la pureté et la sanctification.

C’est au sujet de ces faux docteurs que Jude dira : « Ils changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et renient notre seul maître et Seigneur le Messie Yéshoua. » (Jude 1.4)

Les conséquences et le jugement sera terrible car les avertissements de Dieu sont nombreux, Sa grande patience arrive à son terme et le jugement du Seigneur commencera par sa propre maison.

Le prophète Jérémie fera entendre la plainte de l’Eternel au sujet de tous ces faux docteurs et faux prophètes qui n’enseignent pas la vérité au peuple de Dieu, laissant de nombreux croyants dans une fausse confiance et une fausse sécurité :

« Ils ont méprisé ma loi (…) Ils ont abandonné ma loi, Que j’avais mise devant eux; ils n’ont point écouté ma voix, Et ils ne l’ont point suivie » (Jérémie 6.19 ; 9.13)

« Je n’ai point envoyé ces prophètes, et ils ont couru; Je ne leur ai point parlé, et ils ont prophétisé. S’ils avaient assisté à mon conseil, Ils auraient dû faire entendre mes paroles à mon peuple, Et les faire revenir de leur mauvaise voie, De la méchanceté de leurs actions (…) Voici, dit l’Eternel, j’en veux à ceux qui égarent mon peuple Par leurs mensonges et par leur témérité; Je ne les ai point envoyés, je ne leur ai point donné d’ordre, Et ils ne sont d’aucune utilité à ce peuple, dit l’Eternel. » (Jérémie 23)

« Parce que vous n’avez pas écouté la voix de l’Eternel, et que vous n’avez pas observé sa loi, ses ordonnances, et ses préceptes, c’est pour cela que ces malheurs vous sont arrivés, comme on le voit aujourd’hui. » (Jérémie 44.23)

Ainsi, c’est bel et bien dans le livre des actes que Paul démontre à toutes les générations, qu’il se conduit en observateur de la loi de Moïse ! Paul, aujourd’hui encore, en tant qu’observateur de la loi de Moïse, lance ce cri à tous ceux qui se réclament de Dieu : « Je vous en conjure donc, soyez mes imitateurs. » (1 Corinthiens 4.16)

Et vous, qu’allez vous décider ? Suivre les doctrines d’hommes et faire dire à Paul ce qu’il n’a jamais dit ou faire téchouva (repentance) et suivre enfin les voies de Dieu consignées dans sa Torah parfaite et merveilleuse ainsi que l’a demandé le Messie lui-même ?

Répondez dans les commentaires, votre position nous intéresse !

Une étude de Thomas, sur la paracha de la semaine, paracha Nasso, nombres 4.21 à 7.89.


 
 
 

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