L'UNESCO, Israël, Souccot et la fin des temps : une prophétie se réalise sous nos yeux !
- rencontrerDieu.com
- 1 nov. 2016
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I] Introduction
Lisez bien cet article jusqu’au bout, les informations qui y sont présentes sont précieuses pour nous ouvrir toujours plus les yeux du coeur sur la mascarade mondiale de cette fin des temps, mais aussi pour admirer l’omniscience indiscutable et totale du Dieu d’Israël et de la sagesse qu’Il a donnée aux Hakhamim (Sages d’Israël), que le nom d’HaShem (Dieu) soit magnifié et élevé !
Ce qui se passe sous nos yeux est tout bonnement incroyable pour qui prend la peine d’y réfléchir : au moment précis des fêtes de Tishri (mois biblique durant lequel se déroulent 3 des principales grandes fêtes du Dieu vivant), au lendemain de la fête de Yom Kippour, juste avant la grande fête de Souccot, fête dont la principale symbolique est l’unité du peuple d’Israël, voici que surgit une résolution absolument folle et perverse, appuyée par les nations du monde entier : la désunion, le divorce, la brisure, la déchirure entre Israël et ses lieux les plus saints, une résolution proclamée par l’UNESCO avec l’appui des nations du monde entier ! Oui, vous lisez bien : il n’y aurait AUCUN LIEN entre Jérusalem, le Mont du Temple et le peuple Juif, selon la résolution abracadabrante de l’UNESCO ! (lire l’article parut récemment pour plus d’information : FOLIE à l’UNESCO : « Pas de lien entre le peuple Juif, Jérusalem et le Mont du Temple » – Par Luc Henrist : http://www.rencontrerdieu.com/folie-de-lunesco-de-lien-entre-peuple-juif-jerusalem-mont-temple-luc-henrist/
Mais ce n’est pas tout ! Comme nous le verrons dans la suite de l’article :
tous ces événements au sujet d’Israël ont précisément été annoncés par les sages d’Israël dans un texte vieux de près de 2000 ans : le Zohar… (Pour ceux qui ont peur de ce livre antique, qui auraient des doutes, des objections ou pour tous ceux qui seraient réfractaires et qui condamneraient ce livre de sagesse juive, lire cet article : Zohar, Talmud, Torah, Rav, Rabbin – Explications et Mise en garde spéciale : http://www.rencontrerdieu.com/plus/zohar-talmud-rabbin-explications/)
Insistons : après le jour du grand pardon (Yom Kippour), au moment précis des fêtes dont le principal symbole est l’union et l’unité, voici que le monde proclame la désunion et la division entre Israël et ses lieux les plus sacrés ! Encore une preuve supplémentaire, (comme s’il était nécessaire d’en apporter encore), qui manifeste à quel point le calendrier biblique établi par les sages d’Israël est authentique et correspond toujours, d’une manière ou d’une autre, à des événements d’actualité qui sont complètement liés à la vie spirituelle du peuple d’Israël, que son coeur soit consolé !
Une des résolutions majeures de l’UNESCO, ayant pour objectif d’officialiser la désunion entre le peuple juif et ses lieux sacrés, est adoptée au moment précis de la fête qui représente l’Unité par excellence, à savoir Souccot. Il n’y a rien d’hasardeux avec le Dieu des Cieux, et s’il en est ainsi, c’est que de Son trône, l’Eternel des armées envoie, dans sa bonté, un grand signal à Son Peuple. Nous pourrions voir dans ces événements de nombreuses interprétations, toutes véritables et justes, mais ici, nous nous attarderons sur une interprétation que nous jugeons capitale : que Dieu permette une telle mascarade semble indiquer que l’Eternel envoie un jugement ou un avertissement envers son peuple, afin qu’il prenne conscience de la désunion morale et spirituelle qui réside en son sein.

Selon le principe énoncé par les sages : « Regarde ton problème et tu comprendras quelle est ta faute », cette résolution de l’UNESCO, reniant tout lien entre le peuple juif et ses lieux les plus sacrés, arrive comme une alarme retentissante signifiant ceci :
La désunion et la division qu’il y a dans le peuple de Dieu, ainsi que le manque d’adhérence à la Torah du Maître du Monde ont contribué à provoquer cette résolution perverse de l’UNESCO. Lorsque nous obéissons à Dieu, alors, ici-bas, se manifestent concrètement les fruits du ciel, promis par Dieu dans la Torah. Mais lorsque nous désobéissons à Dieu, alors se manifesteront concrètement ici-bas les fruits de la désobéissance qui se traduisent par toutes sortes de maux, afin – s’il est possible – de nous réveiller. C’est aussi ce que signifie cette parole de Yéshoua : « Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. » (Matthieu 6.10).
Si rien n’est fait, la suite risque malheureusement d’être pire que cette résolution de l’UNESCO. Ainsi, le fait que Dieu permette une si répugnante et injuste résolution doit encourager tout Am Israël (peuple d’Israël) et tous ceux qui sont réellement greffés à Israël et à sa Torah par la foi en Yéshoua le Messie, à parvenir à l’unité, non seulement, entre tous les membres du peuple, mais aussi et surtout avec la Torah de Dieu. C’est ici le premier enseignement que nous devrions en tirer.
Mais également, le monde chrétien devrait bien considérer ces choses-là afin de quitter définitivement, fermement et sans compromis, l’apostasie de l’Eglise et son héritage anti-torah et anti-juive, pour venir se greffer avec humilité, en esprit et en vérité, sur Am Israël, afin d’étudier et de mettre en pratique la Torah (voie de Dieu) ainsi que le faisait le modèle parfait par excellence : Le Messie d’Israël, Yéshoua notre rédempteur.
II] Souccot, l’unité et l’UNESCO
Une fois encore et on ne se lasse pas de l’entendre : plusieurs éternités ne sauraient être suffisantes pour découvrir, déguster, digérer et assimiler les trésors de sagesse, de bénédictions et de révélations qu’il y a dans la fête de Souccot. Sans rentrer dans tous les détails techniques, rappelons rapidement en quoi consiste la fête de Souccot : à partir du 15ème jour du 7ème mois du calendrier biblique hébraïque établi par les sages, chaque famille du Peuple de Dieu construit une Soucca (cabane) qui, durant 7 jours, devient sa résidence principale : les Israélites peuvent y dormir, ils y mangent, boivent etc. Toute différence sociale est ici annulée, chacun se retrouve au même rang et se rappelle de la fragilité de cette vie et comment Dieu, durant le périple d’Israël dans le désert, les protégea surnaturellement de toutes les difficultés liées à une vie vagabonde avec pour habitat, une simple cabane fragile, loin du confort moderne occidental.
La sainteté de la mitsva (commandement) de la Soucca est telle, qu’il est dit à propos du troisième Rabbi de Loubavitch, qu’il ne pouvait y dormir tant il était gêné par la sainteté de la cabane. Sur le site Loubavitch, nous pouvons lire :

« Le Rabbi Dov Ber, troisième Rabbi de Loubavitch, demanda un jour à ses ‘hassidim (ses élèves) : « Comment vous est-il possible de dormir dans Makifim de Binah ? ». Cela signifie que la Soucca est illuminée par un niveau de sainteté extrêmement élevé. C’est pourquoi, le Rabbi exprimait son étonnement devant le fait que ses ‘hassidim puissent y dormir, faisant référence au verset (Beréchit 28 :16) : « Voici, D.ieu se trouve dans ce lieu et je ne le savais pas », et Rachi de commenter : « Si j’avais su, je n’aurais pas dormi dans un lieu si sacré ». Ainsi, lorsque nous sommes clairement conscients de la sainteté de la Soucca, la loi permet que l’on dorme chez soi. Car quand une personne sait qu’elle ne pourra pas s’endormir dans sa Soucca, elle peut dormir dans sa maison. C’est la raison pour laquelle le Rabbi précédent ne dormait pas dans la Soucca : chaque fois qu’il se trouvait dans la Soucca, il ressentait l’extraordinaire révélation de sa sainteté, ce qui l’empêchait de dormir.
Et ainsi, il mit en pratique cette Halakha : « quiconque vit mal le fait de résider dans la Soucca est libéré de son obligation d’y résider » (Choul’han Arou’h Admour Hazaken, para. 8).
Le Rav Yaakov Amsellem du site lechelledejacob, nous rappelle une vérité importante au sujet de Souccot et du fameux bouquet appelé loulav, bouquet composé de 4 espèces de végétaux que l’on doit tenir dans ses mains, une fois par jour, en l’agitant d’une façon précise tout en faisant des bénédictions précises :
« L’unité juive est l’un des principaux thèmes de Souccot. Les Quatre Espèces que vous tenez symbolisent quatre types de Juifs, ayant différents niveaux de connaissance de la Torah et de pratique des mitsvot (commandements). Les rassembler exprime l’unité de notre nation, au-delà de nos différences.
Nos Sages ont vu dans le bouquet du loulav, l’image de l’unité d’Israël. Dans leur esprit, le parfum représente le savoir (de la Torah) et les fruits, les bonnes actions.

– Le saule, dépourvu de fruits comestibles et de parfum, symbolise la masse sans savoir et sans bonnes actions.
– Le myrte, parfumé, dépourvu de fruits comestibles, est le symbole des personnes dotées de savoir mais se désintéressant des bonnes actions.
– Le palmier, dénué de parfum, porte un fruit délicieux, il rappelle les personnes sans savoir qui se consacrent aux bonnes actions.
– L’etrog enfin, supérieur par son parfum et par un fruit exquis, figure l’élite d’Israël, illuminée par le savoir, ennoblie par les bonnes actions.
Que ces quatre groupes, loin de se désagréger en classes séparées, s’unissent par les liens de la solidarité en un seul corps national, afin que, dans un sentiment de fraternité, l’élite, par ses vertus, comble les lacunes des couches inférieures du peuple.
A tous ceux et celles qui pratiquent la fête de Souccot avec un coeur bien disposé, comme demandé par l’Éternel dans la Torah, le Dieu très haut, dans Sa bonté, permet à ses enfants de goûter d’une façon toute particulière, au bon fruit de l’unité entre les enfants de Dieu, manifestant dans le concret, les fruits célestes de l’obéissance à ses commandements. La fête de Souccot apporte joie, allégresse, unité et amour Echad (« un » dans le sens unique) !
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