Non aux violences faites aux femmes par la génération Hamilton, …mais pas que !

Le 25 novembre 2016, hier, les Nations-Unies dénonçaient, à juste titre, les « violences faites aux femmes ».

Et Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU déclarait ceci : « La violence à l’égard des femmes et des filles constitue une violation des droits de l’homme, une pandémie de santé publique et un obstacle de taille au développement durable. [...] Elle impose des coûts exorbitants aux familles, aux communautés et aux économies. [...] Le monde ne peut pas se permettre de payer ce prix. »

On pourrait se réjouir de ce sursaut d’humanité émanant de cette institution qui prend ces dernières années des positions plus que douteuses face à Israel, mais un regard plus attentif aux propos de Monsieur KI-MOON nous remet les idées en place.

Il n’est ici question que d’argent et de statistiques. Ce n’est au final pas les femmes en elles-mêmes qui émeuvent mais le coût que les soins des sévices physiques, psychiques et spirituels des blessures que les hommes leurs auront occasionnées qui scandalise !

Quelle honte de penser ainsi. Pardon Seigneur pour ces hommes, pardon pour la dureté de nos cœurs, pardon. Donne-nous à nous les hommes d’aimer nos femmes comme tu as aimé l’Eglise et t’es donné pour elle.